Concours Communs 1A 2016 – Jour J

Aujourd’hui samedi 28 mai 2016 a eu lieu le concours commun 1A.

Retrouvez nos articles consacrés au concours commun 1A des IEP.

Comment s’est passé le concours ? Avez-vous réussi ? Êtes vous perplexes ?

Dans tous les cas, nous nous retrouverons l’année prochaine.

Ceux qui tentent de nouveau le concours, car d’après les statistiques vous avez encore plus de chances de réussir la 2nde fois.

Et ceux qui l’ont réussi pour aider les nouveaux, et découvrir nos articles spécialement dédiés aux élèves Sciences Po.

En attendant, donnez-nous vos impressions en commentaires ci-dessous.

Quels plans avez-vous choisis ? Avec quelle partie avez-vous eu du mal ? Où est-ce que vous avez donné le meilleur de vous-même et qu’est-ce que vous avez réussi ?

83 réflexions sur « Concours Communs 1A 2016 – Jour J »

  1. @Mathieu
    Merci pour ton avis ^^
    Alors si j’ai parlé de menace algérienne, c’est parce que je l’ai défini avant dans mon intro. Ca inclut une menace pour l’image internationale de la France, la stabilité du régime et l’unité du pays.
    C’est vrai que j’ai pas beaucoup insisté dans ma rédaction sur la réaction de la population :-(. J’ai plus parlé de celle des gouvernements et des institutions mais j’ai quand même évoqué la réaction de la population par la création de l’oas, le putsch d’alger en 61, les craintes des Pieds noirs , le traitement médiatique de cette guerre en France.
    Quant à ton plan , je trouve que les II et III sont bien, ils exploitent bien les connaissances 🙂 mais les A/ et B/ du du I plantent peut être trop le décor sans répondre à la question. Il manque aussi quelques mots sur la politique de Pierre Mendès France .

  2. Merci Kaz’ pour tes commentaires, c’est très sympa 🙂
    Alors oui, pour le plan sur l’Algérie, j’avoue et donc tu confirmes qu’il est très schématique… Il y a un raisonnement mais aucune originalité… bon je me rassure avec le fait que j’ai cerné le sujet et que peut-être comparé à d’autres qui auraient récité le cours sur les mémoires ou sur la guerre d’Algérie, je ne me suis pas trop planté.
    Et concernant la QC, j’aurai du mettre des solutions, cependant, je n’avais pas trop d’idées et ça me semblait pas trop dans le sujet. Cependant, est-ce que ma problématique (pierre angulaire de la dissert’) est bonne (le peuple est-il souverain ?), est-ce réellement le sujet ?
    Merci !
    @Perla
    Ta problématique selon moi occulte certaines choses et est imprécise. Menace Algérienne : ça veut tout dire et rien dire à la fois, plutôt parler de la guerre directement. Au mieux : idem, c’est imprécis.
    Je pense qu’il aurait fallu que tu parles de la réaction des institutions mais aussi de la population et tu ne le fais pas, à mon avis 😉

  3. @Kaz’
    Merci d’avoir donné ton avis ^^
    Quelle partie du sujet penses-tu que j’ai oublié dans ma problématique ?

  4. @Mathieu
    jusqu’à faillir de la faire vaciller ne me semble pas très français ; voulais-tu dire jusqu’à faillir la faire vaciller ?
    Autrement, je trouve ton plan est très simple mais dans le sens positif du terme, il est tout à fait adapté au sujet et je ne pense pas que ta troisième partie soit hors-sujet. Le seul gros reproche que je me permettrais de faire est bien évidemment le manque d’originalité ; le même plan aurait pu être utilisé pour une toute autre problématique à propos de la guerre d’Algérie, c’est ce qui est dommage.
    Concernant la culture générale, il est normal sur un sujet aussi large de ne pas avoir pu caser tous tes exemples. Proposer des éléments de solutions (=/= réponse) aurait effectivement été une bonne chose, néanmoins une erreur à éviter absolument en s’y essayant est de tomber dans le normatif, ou la profession de foi (je ne parle pas au sens religieux nécessairement bien-sûr) ; étant donné que tu ne peux pas revenir en arrière, vois donc plutôt ça comme une diminution des risques pris !
    @Perla
    Je trouve ta problématique un peu fermée, dans le sens où elle ne problématise pas assez, et peu être oublie-t-elle une partie du sujet dans la façon dont elle est formulée. Mais très honnêtement, je ne suis pas expert en problématisation ; attend donc d’autres avis, et ces deux remarques n’en font de toute façon pas une mauvaise problématique 😉 !

  5. Que pensez-vous de ma problématique en histoire :
    Dans quelle mesure la France, confrontée à la menace algérienne, tente-t-elle de protéger au mieux ses positions, ses intérêts ?

  6. Bonsoir à tous,
    Pour ma part, le sujet d’Anglais m’a paru facile, peut-être que le sujet de l’essai était un peu plus compliqué mais rien de bien méchant. L’Anglais (avec les synonymes) devrait donc être globalement réussi par tout le monde, ce qui relève le niveau d’admission (et oui, on est noté les uns par rapport aux autres…).
    Cependant, l’Histoire devrait considérablement le faire baisser. Pour ma part, j’ai été surpris mais non désarçonner. Cela reste un sujet simple où des connaissances précises n’étaient pas spécialement attendues. Il fallait plus s’attacher sur la construction et bien mettre en valeur la réaction des institutions, du ressenti de la population et du contexte. Pour ma part, c’est ce que j’ai fait, peut-être de manière trop rigide. Voici mon plan :
    Pb : Dans quelle mesure, compte tenu du climat politique extérieur et intérieur tendu, la Guerre d’Algérie a-t-elle fragilisé la France jusqu’à faillir de la faire vaciller ?
    I) Contexte
    A) Guerre Froide, US + URSS contre la colo (+PCF en France contre = déjà pas tout le monde en France pour la colo)
    B) Contexte généralisé de décolo (Vietnam (54 tout juste fin de la guerre)
    C) Une République Fragile (Instabilité (21 .gov en 12 ans) + alliances entre les partis bancales + différences idéologiques (PCF, SFIO, MRP + Gaullistes = pas tous pour la décolo et certains pas pour les mêmes raisons)
    II) La réaction Française
    A) Douce (Loi Cadre Deferre 1956 (QUI NE S’APPLIQUAIT PAS A L’ALGERIE) + Assemblée algérienne injuste (1 millions de FR/ 8 millions d’Algériens sous représentés (SAUF QUE C’ETAIT EN 1947 ET 1954, j’ai joyeusement caché ce fait !))
    B) Forte (1956 : Guy MOLLET = Contingent + massacres + torture)
    C) L’abandon (De Gaulle, Je vous ai compris)
    III) Les contestations / réactions de la pop. Française (PARTIE PLUS OU MOINS HORS PROPOS SELON MOI)
    A) Réaction pop. FR (pour puis dès qu’il y a eu des morts (contingent), contre !)
    B) OAS, Militaires & Pieds-Noirs (contre même après la paix (Petit Clamart contre CDG le 22.08.1962)
    Ouverture : Mémoires actuelles
    En ce qui me concerne, ça a coincé côté QC. J’ai pris la démocratie mais je pense m’être trompé… même si le sujet était plutôt simple. J’ai occulté une partie du raisonnement, peut-être pas allé assez en ne proposant pas de solutions (cyberdémocratie etc…). Des avis ? 🙂
    Accroche : Junker face à l’élection de Tsipras les élections ne changent pas les traités
    Pb : Le peuple est-il souverain ?
    I) Le peuple a du pouvoir
    A) il est au centre de la dé. et en assure la légitimité (Il vote les lois fondamentales)
    B) Il élit ses représentants (qui sont censés représenter sa volonté)
    C) Ses droits sont son pouvoir (D’expression + manif (cf. Loi Travail)
    II) Mais son influence dans la gestion des affaires de la cité est limitée
    A) Peuple jugé pas compétent (Platon mais peut-être analyse faussée de nos jours en raison de l’élévation du niveau de scolarité sauf que aujourd’huiles libéraux disent des enjeux qui nous dépassent, donc même type de discours (donc j’ai nuancé) + irrationnel (Hitler 1933 jouant sur la peur)
    B) Ses représentants ne sont pas tenus d’assurer sa volonté (Mandat non impératif + Condorcet qui ne représente que ses idées et non celles de ses électeurs)
    C) Aucun outil institutionnel / conventionnel pour s’exprimer (Pas de veto populaire, pas de possibilité de renverser / censurer les représentants / In US + UK, même pas de référendum (car peuple incompétent et irrationnel)
    Ouverture : Le peuple est-il le point de départ de la démocratie ou ne devrait il pas être plutôt son point d’arriver ? Le démocratie doit-elle construire le peuple (cyber démocratie + délibérative, formation d’une conscience)
    —————–
    Voilà et merci 🙂

  7. @cookie
    je viens de prendre connaissance du véritable libellé du sujet La France face aux événements d’Algérie (1954-1962) et donc ma remarque sur l’analyse trop centrée franco-française n’est pas valable puisque effectivement la question ne laissait pas d’interpretation possible sur cette limite spatiale…
    Bonne chance
    Sujet :

  8. Tu garde toutes tes chances d’obtenir le concours si tu as aussi bien réussi que tu le dis les deux autres épreuves 😉

  9. Perso, j’ai trouvé les épreuves de Questions Contemporaines et d’Anglais bien plus simples que les années précédentes et de ce a quoi je pouvais m’attendre donc je pense y avoir bien réussi. Par contre l’histoire, j’ai pas assez approfondi la guerre d’Algérie donc forcement je suis déçue de ce que j’ai rendu car j’aurais pu faire mieux mais bon… J’ai donné le meilleur de moi même et je suis quand même contente de ce que j’ai fait

  10. @Caroline,
    Ta problématique semble correcte mais offre deux directions possible et bien distinctes :comment la gestion maladroite de la guerre d’Algérie par l’État français a-t-elle permit un renouveau des institutions ? que j’ai bien compris puis il y a également en étant le symbole du déclin de la France en tant que puissance coloniale pour laquelle je n’ai pas de remarque. En revanche, j’ai quelques difficultés à comprendre quelles parties de ton plan se raccrochent à l’une ou l’autre. le plan devant répondre à ta problématique je ne trouve pas le lien évident entre une réponse possible à ta thèse et le cheminement de ton plan. cependant ton plan reste bien consistant.

  11. @cookie:
    Je trouve ta problématique est un peu restrictive en ne permettant pas d’aborder le sujet au niveau internationnal car il est certain que les impacts de cette guerre existent (soutien de certains pays du FLN, position de cette période en pleine guerre froide….) et au final quelle était ta conclusion ?

  12. Bien sûr comme le précise @Madissertation, l’analyse du sujet peut être réduite à certaines époques et lieux du monde. Néanmoins, ce choix n’est jamais arbitraire :
    Il s’agit le plus souvent d’une orientation d’analyse induite par la formulation du sujet elle-même (ceci n’est pas vraiment le cas pour ce sujet selon moi). Il peut également s’agit d’un choix personnel d’angle d’analyse du sujet, mais dans ce cas il est indispensable de justifier ce choix en introduction avec des arguments solides (un tel choix est néanmoins risqué, et certains aspects du sujets nécessitant une analyse risquent d’être mis de côté).

  13. Simple remarque suite à l’observation des différents plans proposés :
    Il me semble qu’un plan en deux parties deux sous-parties est fortement préconisé pour l’épreuve de culture générale.
    @Emy :
    Si tu as bien creusé la notion de démocratie en introduction, c’est très bien ; néanmoins je ne sais pas si cela suffit à compenser les différents aspects du sujet occultés dans ta copie.
    Le sujet, par sa formulation très large par opposition au 2ème sujet proposé, appelait à une étude spacio-temporelle élargie. Or ton plan semble davantage orienté sur le monde occidental, qui plus est dans l’époque actuelle. Si tu fais référence à l’Antiquité et à l’époque moderne dans ta première partie, peut-être que je m’avance trop vite sur ta copie, je te laisse juger cela par toi-même :).
    Également, lorsque tu parles de faire rentrer ta copie dans le principe contemporain, je pense que tu te leurres sur le terme Épreuve contemporaine : il ne s’agit nullement de traiter les sujets proposés uniquement sous l’angle de l’actualité (ou encore à travers l’ Époque contemporaine, époque qui remonte pourtant à la Révolution). Les thèmes et sujets proposés sont simplement toujours d’actualité à l’heure actuelle, en dépit de leurs ancrages parfois très lointains ;).

  14. Désolé à vous 2 d’avoir confondu vos réponses…
    De toute façon pour ce type de sujet, il n’y a pas de problématique unique…
    Ce que je pourrais reprocher à vos analyses est de réduire votre problématique qu’à une seule facette de la démocratie qui est le cœur du sujet. Que l’on s’accorde un champs d’analyse moins vaste sur des limites espace-temps, je le conçois mais, en toute humilité, j’accorde moins de crédit à une copie qui réduit d’emblée « le cœur du sujet » ou ce que l’on appelle plus communément « l’objet du sujet car forcément cela réduit d’autant le champs des réponses attendues et en culture générale plus on balaie large et meilleure demeure les réponses possibles…Cela ne reste qu’un avis parmi tant d’autres.
    En guise de problématique et pour faire rapide… on connaît les termes de l’interminable débat portant sur la ou les définitions de la démocratie, les nombreux paradoxes qui l’entourent. La définition usuelle selon la célèbre formule d’Abraham Lincoln est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ».
    Cette approche par le sens étymologique du terme démocratie reste susceptible d’interprétations différentes, aussi bien quant à la signification concrète de la souveraineté populaire que pour son application pratique-ce qui apparaît clairement au regard de la diversité des régimes politiques qui se sont revendiqués et qui se revendiquent comme « démocratie ». Ainsi, aujourd’hui encore, il n’existe pas de définition communément admise de ce qu’est ou doit être la démocratie. Ceci constitue une première approche de la problématique.
    De plus, la démocratie ne correspond pas à un régime politique précis mais à un système politique ; elle peut s’incarner dans différents types de régime politique : notamment la monarchie (GB) ou la République (Fr)… La France est une République démocratique et son principe est celui évoqué par Lincoln selon notre Constitution, mais ce qui n’est en vérité qu’une « aristocratie élective contrôlée par une étroite oligarchie financière comme pourrait le reprocher certains comme Maurice Duverger.
    Une autre approche de problématique, mais tout restant lié à ce qui est dit précédemment, serait alors : le peuple est-il véritablement représenté dans un régime démocratique ? C’est-à-dire n’est-elle pas en fin de compte, non pas une réalité éventuellement perfectible mais plutôt un objectif politique et civilisationnel, un idéal peut-être hors d’atteinte, voire une fiction, ou bien, plus prosaïquement, une simple mascarade?
    Si l’on souhaite une problématique encore plus provocatrice on peut citer Churchill : « La démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres ». On doit ici alors se demander pourquoi, si la démocratie est « le pire des régimes », elle nous apparaît néanmoins comme constituant l’horizon le plus adapté à tout projet politique, en tout cas dans le contexte de nos sociétés occidentales.
    Le développement devra répondre alors par typologie de démocratie et selon les espaces de temps (antiquité, moyen âge, ère contemporaine…) et de lieux (France, Europe et occident puis mondial) à l’ensemble de ces questions du mieux possible.
    Encore une fois cela reste une approche personnelle…et il n’y en a pas qu’une !

  15. De même, j’ai pas traité le sujet globalement. IL y’avait comme dit Emy, nombre de choses à dire… D’ailleurs, je pense pas à avoir très bien réussi la QC. ( dans le traitement du sujet, du moins )
    Ma problématique : Se demander si la démocratie donne t-elle le pouvoir au peuple n’est-il pas paradoxal ? Dans quelle mesure sommes-nous si éloigné des racines démocratiques originelles ? Pouvons-nous nuancer cela ?
    I. Il apparaît que nos démocraties soient éloignées de ses racines originelles
    A. De la démocratie directe à celle représentative : les révolutionnaires peut enclin à donner du pouvoir au peuple. -Sièyes : le peuple ne peut agir que par ses représentants. -J’ai évoqué quelques philosophes : Montesquieu : le peuple n’a pas la vertu. La démocratie n’est faite que pour les dieux : Rousseau
    B. La démocratie représentative est la forme que l’on retrouve aujourd’hui. Cpt, ils semblent que les élites aient pris un pouvoir croissant.
    -C.Lash, la trahison des Élites. Il dénonce le fossé qui se creuse entre l’élite et le peuple. ( retranchement dans des quartiers privées ) Il évoque aussi l’absence de débat public.
    -C.Crouch : la post-démocratie. Pour lui, c’est un nouvelle ère. L’élection n’est qu’un leurre. Tout se joue en privé, avec notamment les lobbies. Ex : TAFTA
    C. Le peuple affaibli face à un monde complexe, à la mondialisation, au primat de l’économie. Sentiment que le pouvoir est ailleurs.
    Contexte donc de mondialisation qui affaiblit l’Etat-nation. L’économie est aujourd’hui au-dessus de la politique. Un monde de plus en plus complexe. Multiplication des centres de décisions.
    II. Cependant, on ne peut affirmer que le peuple n’a pas du tout de pouvoir. De plus,une conscience émerge pour donner plus de pouvoir, c’est-à-dire, pour revenir aux racines originelles.
    A. Un peuple qui a quelques pouvoirs, et qui est à l’origine initiatives qui visent à obtenir + de pv.
    -Le vote, le référendum. ( mais, cela confère que peu de pouvoir au peuple, surtout dans l’élaboration de la loi )
    – Nombre d’expériences qui visent à changer la société ( car la démocratie, c’est aussi un type de société ! ) : référendum initiative pop, Conseil National de Débat Public, conseil de quartier. La contre démo : surveiller, empêcher. ( cpt, seule une petite partie de la population participe à cela. )
    B. Vers un retour aux racines originelles ?
    -L’idée de D.Rousseau : radicaliser la démocratie. Création d’une assemblée citoyenne.
    -Idée cependant viable que si l’on enseigne un véritable parlé démocratique, ce qui manque plus que tout aujourd’hui à nombre de citoyen. Idée de P.Breton, et D.Gaxie. ( Le cens caché, notamment. )
    conclu : Nos démocraties peinent à donner le pouvoir au peuple. Les citoyens semblent être noyés dans le marché, et la représentativité.( D.Rousseau. ) Il faudra un courage politique pour basculer vers une démocratie d’appropriation, une démocratie continue. Ce qui passe par l’apprentissage de l’argumentation, de la culture du débat.

  16. @Madissertation
    C’était moi qui avait exposé mon plan et non Vinc ahah.
    Mais j’avais fait une introduction qui introduisait déjà une notion globale de la démocratie donc j’ai amorcé ma pbatique autour de la démocratie représentative pour être dans un contexte plus actuel, sinon j’avais peur de trop m’éparpiller, il y aurait trop de choses à dire ! De plus, dans ma première partie j’ai effectivement expliqué qu’il fut un temps où la démocratie donnait pleinement ou presque le pouvoir au peuple (dans l’Antiquité) et donné quelques références à quelques philosophes qui ont dit que la vraie démocratie ne pouvait qu’être directe (comme Rousseau) de façon à expliquer le terme toujours que j’ai utlisé dans ma pbatique. Je reconnais effectivement que ma pbatique répétait un peu le sujet mais comme j’ai bien amorcé et expliqué le sujet dans l’introduction, je ne voyais pas trop comment formuler autrement…

  17. @Vinc
    Cher Vinc je crains que ta problématique, en n’évoquant que la démocratie représentative, efface d’emblée tous les pans possibles de démocratie . En faisant cela tu délimites trop ton sujet car tu occultes alors les autres types de démocraties comme la démocratie directe (pas de représentants)et démocratie participative (système mixte). D’autre part, ta reformulation de la problématique n’est en faites qu’une reprise de la question sans réelle plus value…la démocratie est-elle tjrs en marge de donner le pouvoir au peuple? reste la même chose que la democratie donne t elle le pouvoir au peuple?. Enfin attention tu introduis dans cette reformulation une notion de temps avec le terme toujours ce qui sous-entend que maintenant elle ne l’est plus mais que cela était vrai avant.., il faudra alors le démontrer et ce que semble faire ton plan. Mais en revanche le libellé du sujet quant à lui suggère de le démontrer de tout temps…Le reste semble cohérent pour ma part.

  18. C’est pour ça que jai dis que la demo donne par definition le pouvoir au peuple (I), mais que dans les faits, actuellement pas tant que ça (II), et quil faudrait peut etre que la demo donne plus de pouvoir ou un pouvoir plus en prise avec ce que veut le peuple veut (III) ..
    Oui jai repris de façon tres grosière mon plan
    Quelle partie est pour toi hors sujet ? La 1ere peut etre ? Ou l’ensemble ?

  19. a mon humble avis fanny b, t’es un peu hors sujet..c’est la democratie DONNE le pouvoir au peuple et pas la demo EST le pouvoir du peuple.

  20. @Vinc
    Personnellement j’ai axé ma dissertation autour de la démocratie représentative, ma pbatique était dans nos décmocraties représentatives actuelles, la démocratie est-elle tjrs en marge de donner le pouvoir au peuple? (ou qqch du genre je ne me souviens plus de la formule exacte)
    En grand I j’ai expliqué ce qu’était la démocratie représentative, comment on en était venu à ça ajd, ses avantages et ses principes
    En grand II j’ai exposé les limites de cette démocratie notamment en invoquant la crise actuelle de la démocratie en disant que le peuple se voyait perdre son pouvoir
    Enfin en grand III j’ai présenté les solutions pour redonner le pouvoir au peuple par le biais de nouveaux types de démocratie et par la technologie et les réseaux sociaux.
    J’ai surtout fait du sujet une dissertation qui rentrait bien dans le principe du contemporain en parlant bien de l’actualité et de la situation actuelle, néanmoins j’espère qu’avoir axé ma problématique autour de la démocratie représentative spécifiquement n’était pas hors sujet même si je ne pense pas puisque le sujet était quand même assez large.

  21. Voici mon plan de QC pour la democratie:
    I- donner le pouvoir au peuple a été et est encore un des idéaux démocratiques et fondement de la democratie
    A) ce fut le centre du projet democratique à son origine (Etat Vaishali en Inde et Athènes VIeme siecle avant JC)
    B) un objectif repris par les peres de nos democraties contemporaines (présent dans les textes)
    C) N’est ce pas d’ailleurs ce que reclament les peuples qui souhaitent se democratiser (ex: Printemps arabes)
    II- Mais cet ideal democratique n’est t-il pas qu’une utopie dans nos democraties liberales ?
    A) Le pouvoir au peuple: une utopie voir un danger (Die representative / demaogogie / tyrannie des masses)
    B) Pourtant la demande par de peuple de meilleure redistribution du pouvoir est bien présente
    III- Redistribuer le pouvoir au sein d’un peuple qui tend à s’agrandir pourrait peut etre solutionner la crise de la représentation et de la légitimité de la democratie actuelle
    A) repenser la notion de peuple (evolutions de la notion de la citoyenneté la citoyenneté)
    B) Et lui accorder plus de pouvoirs ou du moins des pouvoirs qui lui correspondent mieux (polymorphie des formes de pouvoirs / nouvelles formes de pouvoirs)
    Voila,mon plan au brouillon etait plus fourni (surtout la troisieme partie) mais faute de temps j’ai du l’abréger .. Le tout avec des citations, des thèses, auteurs et exemples actuels.. Pensez vous que ça tienne la route ? Est hors sujet ?

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