Sujets 2014 en Questions contemporaines : qu’écririez-vous ?

Nous vous proposons aujourd’hui de vous entraîner pour le concours qui aura
lieu ce 24 mai 2014 avec une liste de sujets possible/probables au concours commun !

Pour rappel, les thèmes en 2014 sont : la culture et/ou le travail.

Deux sujets sur un même thème ?

Cette éternelle question hante chaque année les étudiants, les IEP gardant
un malin plaisir à conserver le « et/ou » quant aux deux thèmes donnés.

Cependant, depuis la création du concours commun, le schéma a toujours été
celui d’un sujet pour chaque thème.

Il y a donc fort à parier que les sujets suivront l’exemple classique :

1 sujet sur le thème du travail

1 sujet sur le thème de la culture

Les annales des Questions contemporaines
au concours commun

La meilleure façon de comprendre quelles sont les attentes de sujets en
Questions contemporaines, et le type de sujets qui sortiront, est d’étudier les
annales
en Questions contemporaines
du concours commun.

En lisant bien chaque intitulé, vous comprendrez sous quel aspect les IEP
abordent chaque thème : un angle plus politique, institutionnel, ou
sociétal.

Sujets possibles et sujets types en 2014
en Questions contemporaines

Nous vous proposons pour vous entraîner une liste de sujets. Ces sujets sont
indicatifs, et ne sont que des hypothèses, mais correspondent parfaitement au
genre de sujets qui tomberont ce 24 mai.

Sujets sur le travail :

  • Le travail est-il un fardeau pour la société ?
  • Du travail pour tous, un idéal de société ?
  • Faut-il chercher à s’affranchir du travail ?
  • Le chômage s’oppose-t-il au fonctionnement de la société ?
  • Le travail est-il un moyen de gagner sa vie ?
  • Travail et chômage

Sujets sur la culture :

  • La culture est-elle en voie de disparition ?
  • La culture est-elle un enjeu d’Etat ?
  • Les peuples sont-ils incultes ?
  • La culture, un moyen de conditionnement des peuples ?
  • La culture est-elle accessible à tous ?
  • Culture et Etat

Sujets mixtes :

  • Se cultiver, seule voie d’accès au travail ?
  • La culture, un secteur d’emploi d’avenir ?
  • Travailler est-il un moyen de se cultiver ?

Pour répondre à ces sujets, nous vous proposons ces regroupements
d’articles. Ils forment une base de données qui vous fourniront les idées pour
le développement :

→ Elements de connaissances sur le TRAVAIL
pour les IEP

→ Elements de connaissances sur la CULTURE
pour les IEP

S’entraîner avec les sujets possibles

Vous pouvez vous entraîner à trouver un plan pour chacun de
ces sujets. Le jour de l’examen, sans autre aide,
qu’auriez-vous écrit ?

Partagez ces plans en commentaires, et essayez même de vous entraider en
critiquant de manière positive (c’est-à-dire souligner les points forts et ce
que vous auriez fait différemment) de chacun des plans qui peuvent être
proposés en commentaire.

Cette entraide vous permettra d’améliorer vos propres plans, en comprenant
mieux les attentes et les différents plans possibles et élaborés par les
candidats, mais aussi en permettant de vous en distinguer.

Encore une fois, cette liste de sujets hypothétiques au concours 2014 vous
permettra de saisir ce qu’il est attendu des candidats, et sous quels angles
seront abordés les thèmes de la culture et du
travail, vous donnant le premier avantage.

13 réflexions sur « Sujets 2014 en Questions contemporaines : qu’écririez-vous ? »

  1. Je constate que je ne suis pas le seul à préférer le thème du travail à celui de la culture… Haha !

  2. Bonsoir, à mon tour de me lancer pour un essai (certes rapide et brouillon).
    Le travail est-il un moyen de gagner sa vie ?
    Intro : Par définition, le travail est une tâche, un effort nécessaire afin d’atteindre un but, d’accomplir quelque chose. Du latin « tripalium » = instrument de torture, pourtant en travaillant sur la technique, l’homme a su au fil des siècles se défaire du travail pénible et de son aliénation. Bien au contraire, nous constatons que le travail est à la fois l’essence de l’homme (permet d’échapper à son état de nature) et qu’il lui est indispensable (survivre, échapper à la vie végétative).
    « Gagner » : – gagner de l’argent, l’homme vend sa force de travail contre une rémunération, avoir de l’argent = subvenir aux besoins essentiels puis s’offrir le confort
    – en travaillant sur lui, l’homme se discipline et apprend à résister aux passions/addictions, donc il apprend à être libre, il se libère de l’ignorance, il maîtrise sa vie = il l’a gagné (victoire)
    Pb : Comment le travail a-t-il permis aux hommes de s’enrichir, à la fois sur un plan économique et personnel ? Le travail a-t-il libérer les hommes, tant de la pénibilité du travail que de celle de la vie ?
    I. En maîtrisant son environnement, l’homme a crée de la richesse
    Le travail comme activité éco. Dans les années 1950, 95% des français déclaraient travailler « pour gagner de l’argent ». Depuis pré-histoire, travailler pour subvenir aux besoins. Dvp parallèle du travail et de la technique, s’est défait du travail pénible. En se spécialisant et en échangeant (Adam Smith), les hommes ont ↗ richesses, le travail est devenu source de production et de conso de marchandises. Activité créatrice, permis à l’homme de d’améliorer ses conditions de vie en transformant le monde. Depuis fin 2GM, les 30G et la mondialisation, niveau de richesse inédit, les hommes n’ont plus besoin de survivre, ils peuvent se payer du confort. Dans l’Antiquité cette période de la vie (T éco) était appelé le « negotium ».
    II. En travaillant sur lui-même, l’homme s’est perfectionné
    La phase de « loisirs » était appelé « otium ». Ces loisirs sont philosophiquement > au travail, un temps pour dvp des qualités humaines supérieures (intelligence, spiritualité, …). L’homme se cultivait, il travaillait sur lui. En effet, travail = valeur, vertu. L’homme est perfectible, il n’est pas obligé de se cultiver, il doit alors faire des efforts pour se dvp. Contrairement à ce que l’on peut penser, travail ≠ liberté, théorie Hegel sur dialectique maître/esclave. Travail = apprentissage, discipline, résistance, … L’homme est un animal, en se cultivant il apprend à se maîtriser, il gagne contre son état de nature (et s’en libère). Enrichissement sur le plan perso = libère de l’ignorance, exprime sa singularité, il travaille sur son « esprit ».
    N’hésitez pas à donner vos avis

  3. Merci !!
    Ton est plan est intéressant Lisa mais pour ce qui est du chômage, je le verrai bien dispatché en fin de partie pour soulever une autre question, en tant que transition pour suivre l’idée et intro de ta deuxième partie pour enchaîner ensuite sur la valeur, les bien-faits et l’importance du travail (tout ça bien fondu) car comme dit Thib : le chômage révèle l’importance du travail ! J’ai envie de dire que c’est grâce au chômage que nous pouvons nous rendre compte que le travail nous fait vivre : moralement, socialement et économiquement.
    Sinon, vous passez le concours où ? Pas trop stressés ? Confiants ?

  4. Bonjour lise,tu as raison dans ton plan tu aurais du parler du chômage .Puisque, a mon sens, l absence de travail est révélateur du poid occupe par le travail .
    Ainsi, les chômeurs sont un fardeau pour la société car ils sont inactifs (ils n apportent rien a la société ..ils en sont exclus), dépendant financièrement (puisque ils sont prive de travail or le travail est la seule source de revenue), et menace la cohésion sociale (critique société d assisté)
    le droit au travail est une contrainte donc un fardeau .
    WW : je pense que tu as raison, évoquer les spécificités des régimes totalitaires seraient intéressent .
    Dans ces societes Le travail pour tous etait garanti et obligatoire …
    Ellie : j aime beaucoup ton plan

  5. Bonjour,
    ne pourions-nous pas aussi axé une partie, au contraire, sur l’idéal des sociétés totalitaires où le travail servaient à dresser la population, à l’encadrer, la surveiller mais aussi comme propagande (Stakhanovisme) formant un idéal de travailleur? ou ça serait hors sujet?

  6. Bonjour, j’aimerais connaître ce que je dois améliorer concernant mon ébauche de plan sur le sujet suivant : Le travail est-il un fardeau pour la société?
    L’étymologie du terme laisserait penser que le travail est une contrainte, dans la mesure où il ne serait que créateur de souffrances.
    Néanmoins, celles-ci ne sont pas subies que par les travailleurs (les prolétaires de Marx), mais se retrouvent tout au long de la hiérarchie.
    Il faut aussi remarquer que le travail est avant tout une activité créatrice de valeur : c’est d’ailleurs cette dimension qui sera décryptée, autant que faire se peut, au cours de l’analyse.
    Enfin, comme il est ici question de société, il sera nécessaire de comparer les différentes organisation du travail en fonction des époques, et des aires géographiques.
    Dans quelle(s) mesure(s) le travail peut-il être un facteur de contraintes, lesquelles parviennent à être largement acceptées par la société?
    I. Le travail est un facteur de désordre social, car il peut être contraignant physiquement et psychologiquement
    A- Le travail est physiquement contraignant
    Marx : apparition du capitalisme et réglementation souple en matière de travail
    XXème siècle: production doit être toujours plus → Ford, puis T. Ohno
    Aujourd’hui, les sociétés occidentales ont élargit le modèle aux pays émergents, si bien que les contraintes physiques n’ont pas entièrement disparu (exemple de Nike)
    B- Le travail est psychologiquement contraignant
    Dans la Grèce antique, distinction entre pronos et ergon établissant déjà une hiérarchie entre les différents travaux.
    Aujourd’hui, l’ordre économique s’est établit autour des activités manuelles, n’effaçant pas pour autant les discriminations à la tâche : C. Dejours, Souffrances en France et/ou G. Friedmann, Le travail en miettes
    Aboutissant de ce désordre se retrouve dans la vague de suicides chez France Télécom
    II. Même si le travail fait entrer en conflit les différents intervenants, il est justement le garant de l’ordre social. L’activité économique qui dynamise la société permet aux travailleurs de percevoir les fruits de leur travail, n’étant pas aussi aliénés (Marx) qu’au courant du XIXème siècle. En étant encadrés, donc contraints, les travailleurs s’auto disciplinent et donnent au travail toute la légitimité qui leur permet d’accepter les règles.
    A- Le travail comme un ensemble de droits
    opposition entre sociétés communistes et sociétés occidentales – mise en place de normes encadrant le travail, aux niveaux national et supra national
    Les contraintes qui régissent le travail ne sont donc plus négatives : le fardeau est discrédité car la société requiert des normes qui octroient une part de liberté à chacun en vue de bénéficier à son ensemble
    B- Le travail peut alors être valorisant
    car il donne accès à la consommation, qui engrène le mécanisme de production (ordre social)
    car il permet aux individus d’avoir un statut social
    car tout ceci permet l’accès aux loisirs (D. Méda)
    Je pense qu’il est nécessaire de parler du chômage, cependant je ne sais pas dans quelle partie le mentionner : faudrait-il que je rajoute un C- au I. du type : le travail peut être économiquement contraignant ?
    Merci d’avance,
    Lisa

  7. Je trouve le plan de Thib intéressant mais je pensais à un autre squelette de plan :
    Avant-propos :
    Déjà discuter de la première partie du sujet : Du travail pour tous → Deux sens de compréhension possible :
    1 – Tout le monde doit travailler pour former la société idéale
    2 – Pour dire que la société est idéale, il faut qu’elle puisse offrir suffisamment d’emploi pour ses citoyens, c-a-d avoir une bonne situation économique et démographique.
    Dans la première situation, une société ne peut être idéale que SI tout le monde travaille.Par ailleurs, dans cette perspective, le droit au non-travail est aboli, le droit au travail devient un devoir. Ici se trouve un enjeu politique, sociale et économique.
    Dans la deuxième situation, une société est idéale tant qu’elle offre de l’emploi, peut importe si ses citoyens acceptent ou non. Dans tous les cas, ils sont soit protégés par le droit au travail, soit par le droit au non travail. Ici, l’enjeu économique est plus mis en avant.
    Ensuite, il faut observer la présence du de société → faut-il entendre par là un exemple qui pourrait s’appliquer à toutes les sociétés présentes sur notre planète.
    Ou, faut-il comprendre que l’énoncé réfère à une vue globale,c-a-d à la société humaine en générale. Mais aussi à la période de la mondialisation.
    Enfin, essayer de définir qu’est-ce qui pourrait être une société idéale…
    I. Le travail est le fondement de l’être humain
    1. Ce qui différencie l’homme de l’animal → le travail. Le travail transforme l’homme en être humain.
    Smith percevait le travail comme le principal facteur de création de richesse, mais aussi le centre de vie sociale et un développement de l’humanisation. → Résume le but d’une société. + le travail permet de dominer les influences extérieurs comme la nature mais aussi intérieurs, à savoir devenir libre de nos désirs.
    2) Le travail et la société sont étroitement liés → pour qu’elle devienne parfaite, il faut que tout le monde travaille pour ne freiner aucunement son progrès. Nous le voyons très bien avec le chômage désigné par tout le monde comme un fléau. + Pour l’émancipation des femmes, le premier objectif fut d’accéder à une plus large perspective d’emploi. L’homme travailleur ne pense aucunement à ses désirs égoïstes, il n’altère donc pas à l’élaboration d’une société idéale.
    Néanmoins, ce type de société se base +/ou/- sur une ressemblance de doctrine totalitaire, contraire au principe de liberté.
    II. Fleurissement économique et inexistence du marasme
    1) Une société qui offre de l’emploi pour tous possède une excellente situation économique mais aussi démographique, ce qui traduit un excellent train de vie en son sein.
    Le droit au travail est alors parfaitement accompli car ce dernier doit tout mettre en oeuvre pour assurer aux citoyens un accès à l’emploi. Néanmoins, il n’est pas un devoir, c’est pour cela que nous souffrons de chômage.
    2) Possibilité du choix car cette société demeure idéale tant qu’elle offre de l’emploi. (Ex tribus primitives)
    Existe encore le droit au non-travail, c-a-d aux loisirs, aux congés payés et à la sécurité sociale (droit constitutionnel). De plus, le droit au non-travail est quand même essentiel au sein de notre société car il permet le développement d’autres secteurs économiques comme le tourisme par exemple.
    (Il s’agit d’un simple brouillon, fais à la va-vite mais il me semble intéressant)

  8. Bonjour,
    Concernant Jeremy Rifkin et la fin du travail, il serait plus judicieux selon vous de placer sa réflexion dans le II/B du plan de Thib, en disant qu’il faut repenser la notion du travail sans quoi le travail est voué à la disparition ?

  9. @thib :
    Bonjour @Thib,
    C’est vraiment pas mal !
    Pour chaque argument que tu donnes (ici tu donnes seulement les titres de partie, ou les idées), veille bien à donner un exemple précis et convainquant : une statistique, un exemple historique, ou une citation pertinente et explicative.
    « 2 idéaux de societés s’affrontent » → tu peux énoncer déjà explicitement quels sont ces idéaux, leur donner un nom, et les définir. Expliquer aussi ce qu’est un idéal, il n’y a qu’à donner une définition, même si c’est forcément difficile de connaître toutes les définitions par coeur.
    Il y a en effet 2 sens pour « idéal » :
    – Qui n’a qu’une existence intellectuelle, sans être ou sans pouvoir être perçu par les sens (ça relève de l’idée)
    – Ce que l’on conçoit comme conforme à la perfection et que l’on donne comme but ou comme norme à sa pensée ou son action
    Ta partie sur les enjeux est très bonne, tu as bien compris quel était le problème, l’enjeu du sujet.
    La problématique est également bonne. Même s’il y a référence à Paul Lafargue, « droit à la parresse » dans la problématique peut paraître un peu provoquant, pourquoi pas utiliser « droit au loisir », comme tu en parlais dans la définition durant l’Antiquité ? La problématique est dans l’ensemble bonne !
    Le plan est également pertinent, bien agencé, et tu explores bien tous les angles de vue : le travail qui permet de faire vivre la société, mais qui ne doit pas être aliénant. Il est vrai que tu ne proposes pas de vraie solution dans le III), car tu poses une question, sans surmonter le problème.
    Un article sera publié aujourd’hui, vers 17h, avec 10 références à des ouvrages sur le travail. Ces ouvrages ont l’avantage d’aborder le travail davantage sous un angle sociologique et économique. C’est le meilleur conseil que l’on puisse te donner pour réviser le concours, et sur les connaissances qui seraient profitables à ta copie lors du concours.
    C’est déjà très bien, car tu cites Meda et Rifkin, qui sont d’excellents auteurs pour cette partie, et qui seront bien présents dans les 10 références. Tu aurais pu les citer dans tes parties I. et II.
    Ta 3e partie a besoin de surmonter le problème. Comment donner envie de travailler, pour pouvoir vivre, et en même temps que ce travail ne soit pas aliénant ? Il y a eu de nombreuses initiatives depuis le XXe siècle pour empêcher les dérives du travail, tu peux parler du rôle des syndicats, du commerce équitable, du développement durable. N’hésite pas à ouvrir vers les problèmes plus globaux que posent le travail, comme l’environnement, le respect du Tiers-Monde, la pauvreté.
    Ainsi, une 3e partie aurait pu s’intéresser aux nouveaux défis du travail. Tu peux inverser les perspectives, et ta 3e partie trouverait une vraie consistance : que le travail ne soit plus l’idéal de société, mais que les hommes travaillent à un idéal de société.
    Globalement, c’est un très bon plan, tu as bien saisi les enjeux du devoir. Tu peux ouvrir encore davantage, et intégrer encore plus de faits sociologiques ou économiques, même si c’est déjà bien.
    Si d’autres internautes ont des questions, des remarques, ou des propositions pour améliorer encore davantage ce déjà beau travail, n’hésitez pas. Et toi @Thib n’hésite pas aussi si tu as des questions ou pour d’autres sujets.
    Bon courage,
    L’équipe Intégrer Sciences Po

  10. Bonjour je me lance, voila ce que j’aurais dit pour ce sujet :
    Du travail pour tous un ideal de societé ?
    Introduction :
    Accroche : paradoxe dans la societé grecque le travail était méprisé alors qu’aujourd’hui il occupe une valeur centrale.Deux ideales de societés s’affrontent .
    Définir : W effort produit par un individu en vue de modifier son environnement, le travail peut être manuel ou intellectuel
    .Une societé ideal est une société indivisible, dans laquelle les individus peuvent s’épanouir .
    Enjeux : Si le travail pour tous est un des conditions pour l’émergence d’une société ideal, comment donner du W pour tous alors que 10/ de la popo active est exclu du travail ?
    Problématique :
    Dans quelle mesure la societé ideal doit-elle garantir à chaque individu un travail ?Comment répartir le travail ? Doit-on garantir le droit au W ou le droit à la parresse ?
    Annonce du Plan :
    (I)Une societé ideal est une société qui fournir à chaque individu les moyens pour vivre et s’épanouir, or l’absence de travail ne reunie pas ces conditions . Toutefois, le travail nécessite d’etre désaliené et il (travail manuel/ intellectuel) doit être partagé équitablement entre les différents individus .Enfin, le droit à la parresse doit-il l’emporter sur le droit au travail ?
    I)———–
    A] Le W donne un salaire à l’individu ce qui lui permet de s’intégrer à la société de consommation et de vivre .
    -Smic doit garantir à tous un minimun vital, « Tout travail mérite salaire », societé de consommation .
    -reconnaissance économique
    B] Lorsque le travail est désaliéner de toute contrainte, il permet à l’homme de s’épanouir
    -s’identifier à l’oeuvre que l’on produit
    -sentiment de participer à la création de richesse -reconaissance morale, sociale
    -W lieu de socialisation, en etre privé signifie privé de contact humain or l’homme a besoin de contact humain
    C] une societé ideal est une societé fondé sur le mérite (justice), or le mérite dépend du travail .De plus W permet mobilité social => stabilité de la societé
    II)
    A] Aspect négatif du W actuel
    hiérarchie, divise la société, travail sans interet et sans reconnaissance (eco, social )
    B] ce qui nécessite de Réinventer la valeur travail :
    -travail répétitif –aucun sentiment de reconnaissance
    -Désaliener le W Marx plaçait le travail au centre mais il devait etre désaliener de toute contrainte (cadence, salaire ….)
    C] et de partager le travail
    -travail pénible fardeau de toute la société
    -alterner différents types de travail
    -réduire le temps de travail
    III) le droit à la paresse doit-il l’emporter sur le droit au travail ?
    exposer les différents points de vues
    constat : valeur centrale du W, nécessite un tiers secteur == dominique Meda
    Fin du travail == J.Rifkin
    Droit à la paresse = Paul Lafargue ( gendre de Marx)
    Qu’en pensez-vous ?Ma troisième partie est faible …qu’auriez-vous fait ?

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